Une sacrée mamie

 

Titre : Une sacrée mamie

Scénariste : Yôishichi Shimada

Mangaka : Saburo Ishikawa
Série terminée, 11 tomes
Style :shitei, biographique, historique

Résumé : A la fin des années 50, à Hiroshima, une jeune femme, Hideko, peine à joindre les deux bouts et se fait du soucis pour ses deux fils, qu'elle élève seule. Faute de meilleure solution, elle se voit obligée de confier Akihiro, son cadet, à sa mère habitant à la campagne, dans la petite ville de Saiga. Le petit citadin, d'abord effrayé de cette séparation soudaine, va apprendre à apprivoiser son nouvel environnement, ses nouveaux camarades, et sa mamie, rude de prime abord, et qui se révèle être un sacré numéro.

Mon avis : Ce manga est l'adaptation de l'autobiographie d'un humoriste connu au Japon, Yôishichi Shimada. Bien que romancées à quelques endroits (pardon, mais les rencontres surnaturelles, je n'y crois pas personnellement), les anecdotes sentent le vécu, le vrai, les souvenirs d'enfance. Souvent drôle, parfois émouvant, les galères de cette petite famille incroyablement attachante m'ont vraiment plu. Alors, c'est vrai, pas de magie, pas de grosse romance dégoulinante ni de combats au katana. Mais je suis sûre que ce manga plaira à une grosse partie d'entre vous. En tout cas, je le recommande.

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Beast Master

 

Titre : Beast Master

Mangaka : Motomi Kyousuke
Série terminée, 2 tomes
Style :school life, shojo, action

Résumé : Yuiko Kubozuka aime les animaux ... un peu trop. Non, juste trop, a tel point que ceux-ci la fuient, son chat y compris. Alors que Yuiko le poursuit jusque dans un parc, le chat grimpe à un arbre. Alors qu'elle se demande comment elle va pouvoir l'attraper, une silhouette tombe soudain de l'arbre, son chat entre ses bras. Le chat semble apprécier cette personne, mais quand Yuiko s'approche pour la remercier, c'est un visage effrayant et sauvage qui se tourne vers elle. Avant qu'elle ne dise quoi que ce soit, l'inconnu disparait. Mais pas pour très longtemps : un nouvel étudiant arrive le lendemain dans sa classe. Leo Aoi, l'inconnu au visage si effrayant et pourtant adoré des animaux. Yuiko est bien décidée à faire sa connaissance.

Mon avis : Un bijou, pourtant pas très connu. Loin du shojo dégoulinant, comme toujours avec ce mangaka, son scénario original, plein d'humour, avec des personnages attachants, saura vous ravir. Bon après, on est dans un shojo, donc forcément, on a deux-trois scènes pour tenir l'adolescente en haleine, mais rien de lourd ou trop stéréotypé. Je pense même qu'on devrais créer un nom pour ce style de manga, qu'on ne peut pas vraiment classer en shojo, surement pas en shonen ... d'où ma mention "action" dans la rubrique style. Bref, vous l'aurez compris, je le conseille fortement !

Death Note

 Titre : Death Note
Scénariste : Tsugumi Ôba

Mangaka : Takeshi Obata
Série terminée, 12 tomes
Style : Suiri, fantastique, psychologique

Résumé : Light Yagami est un jeune homme qui a tout pour lui : beau, intelligent et respecté. Un jour, alors qu'il rêvasse pendant ses cours en regardant par la fenêtre, il voit tomber un objet noir, au beau milieu de la cour, comme sorti de nulle part. Dès qu'il en a l'occasion, il va le ramasser : l'objet se révèle être une sorte de cahier à la couverture noire, titré Death Note. Le cahier est vierge, mis à part ce qui semble être une notice d'utilisation : y écrire le nom d'une personne dont on connait le visage le condamne à une mort par crise cardiaque sous 40 secondes. Dubitatif, il décide d'essayer avec un malfrat dont parlent les infos du soir. Stupeur : ça fonctionne. En plus de lui apporter un grand pouvoir, le Death Note lui apporte la compagnie de Ryûk, dieu de la mort lié au carnet, qui lui explique plus en détail les conditions d'utilisation du cahier.

Light est dès lors décidé à faire de la Terre un monde meilleur ...

Mon avis : Death Note est juste un incontournable. Aussi bien pour ses dessins absolument SUBLIMES que pour son scénario à la fois dingue, intelligent, compliqué, incroyable et j'en passe ! La psychologie des personnages est plus que développée, faudrait inventer un mot pour dire à quel point elle est riche. L'histoire ne s'arrête jamais de nous surprendre, même après plusieurs lectures. En revanche, si vous n'aimez pas les manga où il y a beaucoup à lire .... celui-ci n'est pas pour vous. De même si vous n'aimez pas du tout les polars. Pour tous les autres, si ce n'est pas déjà fait, lisez-le !!!

Asa mo, hiru mo, Yoru mo

 Titre : Asa mo, Hiru mo, Yoru mo
Mangaka : Aoki Koyomi
Série terminée, 2 tomes
Style : Shojo, school life

Résumé : Shinobu Uetsugu est une jeune lycéenne normale, si ce n'est sa peur des hommes. Et surtout d'un : Jun Yokomizo. En effet, Shinobu a été violée alors qu'elle était collégienne, et son violeur ressemblait trait pour trait à Jun Yokomizo. Ce dernier n'étant pas au courant de cela, il cherche à se rapprocher de Shinobu, et finit par lui avouer son amour pour elle. Pour Shinobu commence alors un véritable combat contre Jun et contre elle-même.

Mon avis : Si j'ai décidé de vous parler de ce manga, c'est parce qu'en fait, je n'avais pas d'idée, et je me souvenais que quand je l'avais lu, il y a plusieurs années, il m'avait bien plu. J'ai donc décidé de le relire ...

Je ne comprends pas comment j'ai pu apprécier ce manga. L'héroïne est une chieuse qui change d'avis toutes les deux pages, le duo ne fait que se disputer bruyamment en public, et Shinobu oublie de façon ridicule son traumatisme, pire, en plaisante presque avec ses amies ... Bref, un scénario que je trouve improbable, fatigant, assez rabaissant pour les femmes parfois, et des dessins pas très beaux, mais on a vu pire, c'est vrai.

Bref, ce n'est que mon avis, mais si vous avez le choix entre celui-ci et un autre manga, choisissez l'autre !